
Monique a déniché un Club d’Aquarelle.
J’y participe une fois. Pour voir. L’animatrice nous conduit au dessus de la ville dans un champ d’oliviers qu’un vieux fou s’acharne à ne pas vouloir céder à tous ces promoteurs qui seraient tellement contents d’enjoliver le paysage par quelques nouvelles constructions de vrai-faux luxe.
"Pourvou que ça doure !"
Je suis assez content de cette aquarelle.
L’association d’un paysage végétal avec une construction humaine pour la recadrer me donne satisfaction, l’un adoucissant l’autre, le second remettant le premier en perspective.
Y penser à l’avenir !
Salon du Ripault 2001.
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