Retour à la technique de superposition qui me permet de sortir un peu du trop figuratif.
Prendre une taille de tahitienne
(de moins de 18 ans de préférence)
Y surimposer la photo d'un atoll avec ses photogéniques palmiers.
Peindre le tout.
Photographier l'oeuvre.
Le reflet du flash sur la vitre simule admirablement le soleil,
ce que le peintre n'avait pas su rendre.
Même sans cet heureux hasard artificiel, je suis assez content de cette aquarelle pour l'exposer au Salon du Ripault.
Il n'y manque que le youkoulélé, le bruit des vagues et un bon verre de rhum.
Salon du Ripault 2007.

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