Surtout le soir au calme.
Ici, ce qui m’a intéressé, c’est le soleil couchant.
Mais, comment rendre le soleil ?
Par principe, la peinture ne peut qu’assombrir le blanc du papier.
On ne peut donc représenter l’éblouissement du soleil qu’en laissant du blanc.
Mais, dans une aquarelle, il y a beaucoup de blancs.
Pour mettre en valeur celui qui est dû au soleil, il faudrait donc enlever les autres blancs, ce qui me semble plus dans l’esprit de la peinture à l’huile que dans celui de l'aqaurelle.
Toutefois, ici, l’effet de diffraction de la lumière par les arbres éloignés donne un rouge vif qui ne dépeint pas trop mal le couchant.
Présentée au Salon de Lésigny 2008.
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