Monique marche d'un pas décidé.
Voilà que je la croque.
Le crayon, sympathique,
gomme quelques kilos superflus.
Il ne s'agit pas de faire un portrait mais une simple évocation.
Le visage n'est pas représenté.
Le dessin des bras est approximatif.
Je ne cherche pas la représentativité photographique.
Inutile de dessiner les herbes et les fleurs : quelques aplats suffiront,
le pinceau chargé d'un bel orange vif est secoué sur le papier et
voilà un parterre de fleurs.
Le mouvement est réussi. Vivement la pause casse-croûte.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentaire