Des immeubles,
des maisons.
Au prix du m² il faut occuper tout l'espace.
Dur dur pour le peintre.
Je cherche dans les rues,
goudronnées, bétonnées. Rien.
Et tout à coup, au détour d'une ruelle,
voilà que surgit une ferme.
Des oliviers, des cerisiers.
Miracle! Je pose mes fesses sur l'herbe et je la croque.
Faudra que j'y retourne
avant qu'un promoteur ne sache convaincre l'entêté paysan.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentaire