Je n'étais pas satisfait de mon tableau
"2013.Lac Onéga".
Alors, je me décide à le refaire.
Ce que je ne fais jamais.
J'essaye de mettre en oeuvre les enseignements
karpinskaïens :
On inonde le papier.
On étale la couleur en grandes masses.
On cherche à contrôler les écoulements vagabonds.
Peu à peu l'humidité se fait plus douce.
Le pinceau à dépeindre entre en action.
Ce n'est pas encore ça, mais c'est mieux.
Certes, l'aquarelle manque de vigueur mais elle autorise le rêve.
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