Le premier plan se veut
inquiétant, sombre.
Il s’oppose à un décor lointain plus chaleureux.
Serait-ce la lutte du Bien et du
Mal ?
Une représentation du Yin et du Yang ?
Une symbolisation du jour et
la nuit ?
Pourrait-on y voir les divinités infernales
face aux célestes bienheureux ?
Par cette allégorie, l’auteur nous
fait-il part de sa réflexion
sur la dualité, base de toutes les mythologies ?
Exprime-t-il son réconfort à ceux qui sont dans la peine
en leur annonçant
des lendemains meilleurs ?
Selon Nietzsche, y trouverait-on l’opposition
entre la sinistre philosophie
d’Hégésias, le Ministre de la Mort
et les revigorantes
ressources des principes d’Epicure ?
Mais non, la scène décrit en fait une
petite discussion entre deux pigeons
qui ne s’aiment plus d’amour tendre.
Monsieur s’est épris d’une alouette et veut reprendre sa liberté.