Nous voici une nouvelle fois chez nos amis de Salon. Bonjour, Nostradamus comment irons-nous demain ? Qu’as-tu écrit sur le réchauffement climatique ?
Anne m’incite à reprendre le pinceau que j’ai abandonné depuis de nombreux mois. Ok, on y va !
On grimpe sur la colline avoisinante et on cherche un point de vue agréable. Je propose de n’utiliser que le brou de noix. Ce sera une bonne façon de reprendre contact avec l’aquarelle. J’aime beaucoup cette teinte qui autorise une infinité de nuances selon les dilutions.
Le château de l’Empéri domine la ville du haut de son rocher.
Le travail est vite expédié.
Une touche de bleu dans le ciel redonnera un peu de vigueur à une œuvre un peu fadasse.
