
Albaret le Comtal.
C'est bien la première fois que j'entends ce nom.
Un pays rude.
Des laves qui nous replongent dans un paysage islandais.
Des maisons solides, carrées, rustiques.
Elles sont prêtes à affronter les siècles qui viennent.
Des champs clôturés par des rangées de fil de fer barbelé.
Des génisses d'Aubrac d'un magnifique cuir beige.
Paisibles dans leurs champs.
Heureuses avant la mort brutale qui les attend.
On va pouvoir dessiner.
Mais, il pleut.
Il pleut.
On va donc se rabattre sur un modeste bouquet champêtre
qui trône sur la table.
Je m'intéresse à la cruche en verre et ses reflets.
Peut-être faudrait-il y consacrer un peu plus de temps.
J'ai évité le ton trop vert des feuilles.
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