Water colour, ce
n’est pas terrible mais pintre à l’aiga ça, ça a de la gueule. N’est-ce pas
Louis ?
Acqua, eau ou aiga, pourquoi pas, mais j’aime mieux le piémontais eva,
plus doux, plus fluide.
Quand la retraite vint, je tombai dans l’aquarelle.
Je ne
me doutais pas que j’entrai dans un aussi vaste royaume,
celui où se dévoile toute
une histoire d’eau,
le cycle de l’eau, cher à Jean-Louis Morelle et Eva Karpinska.
Un Art de la transparence qui s’exprime grâce à des outils de haute technologie
comme les pinceaux, ronds, sabres ou traceurs, synthétiques ou en poils,
les pigments
tirés des richesses de la Terre,
les papiers mis au point au fil des siècles de
l’histoire des Hommes.
Sans oublier, un détail, le talent du peintre ou, pour
le moins, sa passion.
Aujourd’hui, j’ai eu envie de rendre hommage à cette
technique.
Sans sujet, sans dessin. Un dessein sans dessin.
Un clin d’œil à ma
palette avec son superbe Orange transparent (Winsor),
son Brun de Mars
transparent (Blockkx) et, bien entendu son fameux Gris de Payne (Winsor).
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