Après verso,
voici recto.
D’abord, il y a
la norme, la respectabilité du moment.
Celle de notre
époque où l’atteinte à la pudeur
est chassée des
Musées et des réseaux sociaux.
Où la marchandisation
du corps de la femme,
le comportement
macho sont proscrits de l’Art.
Mais largement
étalés sur les affiches.
Comme cette
mode a changé depuis l’Antiquité ou même notre jeunesse.
Bien que vue de
face, Recto reste pudique.
On est loin de « L’origine
du Monde » ou d’Egon Schiele.
Ensuite, il y a
l’aspect technique.
Le problème du
visage est réglé par les soins d’un chapeau bienvenu.
Celui plus
délicat des mains et des doigts est évacué de bien belle façon.
Restent les
seins.
Ils sont en
place mais voilés par la couleur.
Voilà qui est
fait et le tour est joué.

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