On va renouveler le combat de l'eau.
Même village.
Même douce rivière.
De l'autre côté du pont,
un ancien barrage continue à jouer avec l'eau.
Le peintre aime cette eau qui coule,
l'ingénieur déplore les kilowatt-heures perdus.
Défi de rendre cette cascade.
Nous y passons près de deux heures à copier chaque détail
qu'un coup de pinceau libre et rapide viendra ensuite simplifier.
Rigueur et fausse spontanéité. Le spontané s'appuie sur le réel.
Au fait, dirait Platon, c'est quoi le réel ?
L'idée du barrage, la construction qui est devant les yeux ou l'image sur mon papier ?
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