Le temps, comme le vent, efface toute trace. / Fernand et sa Constance, un souvenir fugace,
Le Roucas de Marius,
Dette la bien aimée, / Ce merveilleux
passé, tout s’est évaporé !
Sa maman, son Papa, Belle, Maja, Ciguë, / Que de chers souvenirs aujourd’hui disparus.
Le temps, comme le vent, efface toute trace. / De son temps de lycée, de ses copains de classe,
Des années de travail, de cours à rédiger / Tout le monde des livres, elle a tout oublié.
Le mystère des Mythes, l’Univers et Alain, / La vie après la mort : des souvenirs lointains.
Le temps, comme le vent, efface toute trace. / D’Amérique ou de Grèce, d’Athènes à Samothrace,
Des trésors d’Italie, d’Islande et des volcans, / Tout un monde perdu, sombré dans le néant.
Et Philippo Lippi, Donatello, Bernin, / Disparus eux aussi comme Bach et Chopin.
Mais son mari est
là, sa fille qui l’embrasse / Et son petit Laurent
qui sent bon les épices /
Et puis voilà Fanny, Julie, Lucie, Emile, / Les aides médicales et la douce Cécile.
Oui, tous aimeraient tant, qu’un jour elle guérisse.
❤️
RépondreSupprimerBonjour Jean, les larmes me sont montées en lisant votre poème. Nous pensons bien à vous. Evelyne et Jacques
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