Comme disait l’Autre : « Ceci n’est pas une ville !»
Ce n’est même pas le dessin d’une
ville.
C’est une musique. Hein ?
C’est l’enregistrement audio des 20
premières secondes de la
Cinquième. Le Destin. Enregistrement de Karajan.
Ceux
qui l’aiment reconnaitront, dans le premier groupe de gratte-ciels,
le fameux motif du destin qui frappe à la
porte :
deux fois quatre notes,
trois brèves et une
longue, sol, sol, sol, mi, puis,
fa, fa, fa, ré.
Une quintessence d’énergie.
Ce thème
est immédiatement repris en écho.
Après un exposé plus calme du sujet, voilà qu’éclate à nouveau,
dans le
deuxième groupe d’immeubles, l’avertissement du destin.
Que de fois, j’ai pu,
dans ma jeunesse, écouter cette œuvre magistrale avec passion.
Aujourd’hui,
quand elle ressurgit, elle me ramène toujours son flot de nostalgie.
Tiens, je
vais l’écouter en entier de nouveau.
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