Je pense encore au cher Daudet, Alphonse.
« Et
maintenant, comment voulez-vous que je le regrette, votre Paris bruyant et noir
?
Je suis si
bien dans mon moulin !
C'est si
bien le coin que je cherchais,
Un petit
coin parfumé et chaud,
A mille
lieues des journaux, des fiacres, du brouillard ! »...
Je suis si
bien ici tranquille dans mon bain.
Le Soleil, rien
que pour moi,
Une mer
toute bleue, encore chaude,
Et surtout la
beauté des paysages,
Le bleu lointain
des pics de l’Estérel.
C’est le
mois de septembre.
Les
vacanciers se sont précipités,
Ils ont
repris le train
La route et
ses embouteillages
Pour
retrouver, les fous, la pluie et le boulot.
Cécile se
régale.
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